Temps de lecture : 6 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
« Le wokisme est un cancer intellectuel. » En février, Philippe Dubreuil a provoqué avec ces mots un séisme dans les milieux militants. Le président du Forum gay et lesbien de Lyon annonçait alors sa volonté de ne pas se représenter. Après vingt-cinq ans d'engagement, il a dénoncé une « dictature des minorités » au sein de la communauté LGBT+. Comme lui, d'autres militants, dénonçant le "wokisme" (de l'anglais "woke", qui signie être éveillé face aux discriminations) ont perdu le feu sacré et été ostracisés au sein de leurs mouvements.
Solène est une chanteuse française d'une trentaine d'années. Elle raconte ses premières manifestations avec sa mère et sa colère lors d'une conférence anti-avortement tenue dans son lycée privé catholique, qui lui a donné la volonté de se battre « contre...
"Il est toujours plus confortable de haïr que de penser. »
Que voilà une belle devise pour LFI et le RN !
Petit malin et Sanglier, je suis d'accord avec vous : ces étudiants ne sont sûrement pas en prépa et n'ont sûrement pas déjà intégré une grande école. En revanche, aux États Unis ces jeunes adultes sont dans des universités prestigieuses comme Harvard et consorts ou en sortent et de ce fait, réussissent à gangréner les milieux professionnels en accédant à des postes dans de grandes entreprises (gafam, coca cola, apple). Recherchez l'interview de Pierre Valentin à ce sujet. Le documentaire diffusé par LCP sur le sujet est également édifiant (Aux origines du wokisme).
Les deux derniers paragraphes de l’article relatifs au « rôle de l’ennemi » renvoient de façon chimiquement pure à 1984.