Liberté d’expression : l’étau se resserre

A Marseille, des enquêteurs formés pour mieux lutter contre «la haine»

Depuis septembre, des enquêteurs et magistrats sont formés à « la lutte contre la haine » à Marseille et à Aix-en-Provence, dans le cadre d’une expérimentation en partenariat avec la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT.

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Depuis septembre 2018, les autorités judiciaires et policières marseillaises ont entrepris de sensibiliser leurs enquêteurs à « la lutte contre la haine ». Ce terme, inspiré des « hate crimes » anglo-saxons, inclut à la fois les actes racistes, antisémites et anti-LGBT. Trois journées de formation destinées à des policiers, des gendarmes et des magistrats du parquet locaux ont déjà eu lieu dans les Bouches-du-Rhône, dont la dernière le 1er juillet, en partenariat avec la Dilcrah (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT) et le camp des Milles.

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